Voici l'image d'une femme rurale congolaise. Elle vit dans une zone rurale et travaille de l'aube au crépuscule, et souvent même plus tard, au soleil, et souvent même plus tard. Peut-être qu'elle dirige une petite entreprise ou qu'elle cultive un champ, ou les deux, pour subvenir aux besoins de sa famille. pour subvenir aux besoins de sa famille. Elle passe de longues heures à aller chercher de l'eau et du carburant et à préparer les repas. Elle assure l'éducation de ses enfants. Elle s'occupe du bétail et des champs. Sans les femmes et les filles des zones rurales, les communautés des zones rurales ne pourraient pas s'en sortir. Les communautés des zones rurales ne pourraient pas s'en sortir. Pourtant, les femmes et les filles font partie des personnes les plus vulnérables à la pauvreté et au manque d'accès aux actifs, à l'éducation, aux soins de santé et à d'autres services essentiels, et elles sont les plus touchées par les effets du changement climatique. Les effets du changement climatique. Dans la plupart des efforts de développement, les femmes rurales, en raison des inégalités entre les sexes, de l'inégalité entre les sexes et de la discrimination auxquelles elles sont confrontées, sont victimes de discrimination et sont moins aisées que les hommes des zones rurales. La communauté internationale s'engage à défendre les droits fondamentaux de toutes les femmes et de toutes les filles. Il est urgent de tenir cet engagement, en particulier dans les zones rurales. Zones rurales. Les femmes rurales et leurs organisations vont de l'avant pour revendiquer leurs droits et améliorer leurs moyens de subsistance et leur bien-être. Ils créent des entreprises prospères et acquièrent de nouvelles compétences, font valoir leurs droits légaux et se présentent aux élections, se tournent vers des méthodes agricoles innovantes et tirent parti de leur expérience et de leurs connaissances pour améliorer leur vie et tirer parti des nouvelles technologies. Afin de contribuer à ce problème qui ronge les femmes de nos zones rurales, nous avons concentré notre attention sur l'autonomisation des femmes pour lutter contre ces inégalités et grâce au @ambassadefrancerdc, nous avons inscrit à la deuxième phase du projet PISCA, plus de 250 femmes du territoire de Kalehe et d'Idjwi qui ont commencé leur formation en alphabétisation pour les mettre aux normes, puis elles suivront la formation en compétences commerciales, après quoi elles suivront une formation aux activités génératrices de revenus et la femme sera alors capable pour ouvrir son entreprise personnelle afin de créer de l'argent dans son environnement et sera suivie et accompagnée par une agente de Rebuild Women's Hope.